Aujourd’hui, nous partons à la découverte de célèbres quartiers de Tokyo. Nous commençons par Harajuku, dont les principales attractions sont la Takeshita Street et le sanctuaire Meiji. Nous prenons ensuite de la hauteur en nous rendant à Shinjuku puis finissons notre journée à Shibuya.
Sur le chemin d’Harajuku, nous retrouverons Florian et son collègue, tous deux de passage au Japon pour le travail.
Harajuku est un quartier de Tokyo dont la popularité s’accroît dans les années 70 en tant que quartier de la mode, notamment chez les jeunes. Ce n’est pas étonnant que de nombreux cosplayeurs s’y retrouvent le dimanche matin.
Le quartier est souvent représenté par la Takeshita-dori, une rue piétonne toujours pleine de monde dans laquelle se trouve des boutiques de vêtements, de maquillage, de goodies et les fameuses crêpes Marion. (Mais si, celles avec énormément d’ingrédients à l’intérieur, même du cheesecake !).
Non loin de ce lieu animé se trouvent le parc Yoyogi et le temple Meiji-Jingu permettant d’échapper au tumulte de la ville.
Nous arrivons sur le quai du métro et découvrons une affiche sur les wagons réservés aux femmes. Et oui, encore ! Mais avec davantage d’explications cette fois-ci. Nous apprenons qu’ils sont uniquement réservés aux femmes pendant des tranches horaires spécifiques : de 7h27 à 9h30 en semaine. (Oui oui, il était bien écrit 27 sur l’affiche, les japonais semblent aimer la précision). Aujourd’hui étant un dimanche, nous n’avons pas le privilège d’avoir un wagon qui nous est réservé.
Nous montons donc dans le premier wagon accessible et descendons quelques stations plus tard. Une nouvelle épreuve nous y attend : trouver la sortie. « Facile », me direz-vous. « Ça ne peut pas être pire que Châtelet », chuchote quelqu’un dans le fond. Vous êtes encore bien naïfs… Au Japon les sorties sont indiquées par des flèches, jusque-là, rien de bien compliqué. Cependant, ces flèches peuvent être quelque peu… Déroutantes. Par exemple, que signifie cette flèche pour vous ? Contrairement à ce qu’on pourrait penser, elle n’indique pas d’aller tout droit mais plutôt de faire demi-tour. Et celle-là ne signifie pas qu’il faut aller à gauche mais nous montre un escalier sur la gauche qu’il faut emprunter. Plein de petits pièges dans lesquels nous tombons à chaque fois…
Malgré ces embûches, nous réussissons à trouver une sortie. Mais était-ce notre sortie ? Aucune idée. Ce qui compte, c’est d’avoir réussi à mettre le pied dehors.
En sortant de la station, nous voyons des personnes faire la queue le long d’un cercle de verdure. Suivant notre chemin, nous remontons cette file et découvrons que cette queue semblent former un cercle parfait autour de l’étendue de verdure. Qu’attendent-elles ? Sont-elles toujours en train de faire la queue à l’heure actuelle ? C’est un mystère que nous n’avons toujours pas éclairci.
Nous arrivons à la gare d’Harajuku où nous retrouvons nos deux compères, Florian et son collègue. La gare est pleine de charme et semble tout droit sortie d’une autre époque. (C’est bien dommage qu’elle ait été détruite en 2020).
Premier arrêt : Takeshita-dori ! Vous savez, la fameuse rue où tous les youtubeurs tournent une vidéo sur la nourriture arc-en-ciel au Japon (Coucou Cyprien). Le dimanche matin, de nombreux cosplayers sont censés s’y retrouver mais nous n’en avons malheureusement aperçu aucun.
Takeshita-dori est une rue piétonne animée de Tokyo. Le long de ses 400m, on trouve notamment des magasins de vêtements pour tous les styles (punk, rock, casual, gothic…). Mais aussi des boutiques de maquillage, d’accessoires et de nombreux snacks à la nourriture instagrammable dont les fameuses crêpes Marion.
La rue renferme de nombreuses boutiques hétéroclites. Vous cherchez des vêtements goth lolita ? Vous en trouverez. Vous préférez acheter des chaussettes ? Vous êtes au bon endroit. Ou alors du maquillage ? Vous aurez le choix parmi une large gamme de produits. Et si vous avez faim ? Il y a de la nourriture à gogo : croque-monsieur fourré au fromage arc-en-ciel, barbe à papa arc-en-ciel, crêpes au cheesecake avec boule de glace… et ce n’est qu’une infirme partie de ce qui est disponible.
J’aurais bien aimé goûter à l’un de ces produits mais il n’est que 10h du matin, j’ai déjà pris mon petit déjeuner et il faut que je garde mon appétit pour le restaurant de ce midi. C’est un restaurant où nous avons envie d’aller depuis longtemps.
Il n’est peut-être pas l’heure de manger mais il est l’heure… du laser trap ! Qu’est-ce ? Un lieu magique, encore inconnu en France, et apprécié de tout espion qui se respecte. Situé au troisième étage d’un immeuble de la rue, un comptoir insipide nous fait face lorsque nous franchissons l’entrée. Mais ne nous laissons pas avoir, ce qui nous intéresse se trouve sur notre gauche : la salle du Laser Trap.
Notre hôte nous explique les règles. La salle est traversée par des rayons lasers. Notre but ? Réussir à appuyer sur 3 boutons différents, dispersés dans la salle, sans toucher les rayons. Sommes-nous prêts à relever le défi ? Si nous touchons les rayons laser trop de fois, nous échouons notre mission. Si nous mettons plus de 2min à appuyer sur les boutons, nous échouons notre mission. La tâche ne s’annonce pas facile.
Pour commencer, nous devons choisir un niveau : facile, médium ou difficile. Ne sachant pas encore à quoi s’attendre, nous convainquons Florian de nous montrer l’exemple. Pour ne pas prendre trop de risques, il choisit le niveau facile. Il s’installe dans la salle qui prend vie : quelques rayons laser apparaissent sous nos yeux, tandis que les boutons s’illuminent. Sans difficulté, il appuie sur un premier bouton. Son action change la configuration des rayons laser ! On ne nous avait pas prévenus ! Il continue son chemin et se fait toucher à quelques reprises, ce qui diminue le temps qu’il lui reste pour appuyer sur les boutons. Réussira-t-il la mission ? Le suspense est à son comble ! … … Et la réponse est oui !! (Ne clamez pas victoire trop vite, nous sommes encore au niveau facile).
Après cette réussite, chacun d’entre nous essaie le niveau médium et le réussi sans trop de difficulté. Il ne nous reste plus qu’un niveau à accomplir, le difficile. Cette fois, nous décidons d’y aller par deux. Les rayons laser sont plus nombreux et il y a 6 boutons sur lesquels appuyer. Pour les valider, il faut appuyer sur 2 boutons en même temps.
Avec Adibou, nous sommes les premières à tenter l’expérience. Nous nous rendons très rapidement compte de la difficulté. Sur la première partie, je suis restée bloquée une dizaine de secondes dans une position inconfortable sans pouvoir avancer, gênée par les lasers. Dans une seconde partie, c’est Adibou qui, en rasant le mur, a cassé le matériel en faisant tomber un laser ! Florian et son collègue ne s’en sortent pas mieux et personne ne réussit à achever le niveau difficile. Nous nous avouons malheureusement vaincus.
Nous reprenons la visite du quartier, déambulant parmi les rues adjacentes. Nous arrivons dans un temple où un couple de japonais réalise ses photos de mariage. Les deux époux sont en tenue traditionnelle : la mariée est vêtue d’un ample kimono blanc et porte une énorme coiffe blanche et ovale, le tsunokakushi, qui protège sa coiffure. Le marié est habillé d’un large pantalon plissé de couleur grise et d’une veste haori de couleur noire avec des manches mi-longues. Ils sont tous les deux très élégants.
Nous continuons notre chemin et pénétrons dans les jardins du Meiji-jingū (ou plutôt la forêt, d’après ce que nous avons vu).
Le Meiji-jingū est un sanctuaire shintoïste construit dans les années 1920 en hommage à l’empereur Meiji (1852-1912) et sa femme l’impératrice Shōken (1849-1914). Bien que ce complexe leur soit dédié, leurs tombes se trouvent à Kyoto.
Le sanctuaire est situé au milieu d’un parc composé de plus de 100 000 arbres de 360 espèces différentes, donnés et provenant de tout le Japon.
Dès l’entrée des jardins, d’immenses arbres de différentes variétés, culminant à plusieurs dizaines de mètres, nous accueillent. C’est impressionnant. Les jardins sont ravissants et nous perdons rapidement nos compères paparazzis qui s’arrêtent régulièrement prendre des photos.
Marchant à notre rythme avec Adibou, nous remontons une large allée qui nous mène au plus grand torii en bois du Japon. (Des *plus grandes choses en matériau spécifique* du Japon, nous allons en voir d’innombrables !). Il nous domine du haut de ses 12m.
Nous passons dessous et bifurquons pour entrer dans le parc du sanctuaire Meiji qui jouxte le temple. Oui, nous allons bien dans un parc situé dans des jardins. C’est un parception ! Les paysages y sont somptueux.
Au cours de notre balade, nous découvrons une maison traditionnelle japonaise où l’on pratique l’art du thé, un lac contenant… des carpes koï, un jardin d’iris qui ne sont pas du tout en fleur (Et que j’aimerais renommer le jardin de buissons verts et ronds pendant le mois de mai) et le clou du spectacle… un puits ! Son succès est tel que nous devons faire la queue pour y accéder. Après d’innombrables minutes, nous pouvons enfin l’admirer : composé d’un pourtour en bois, il est formé d’un trou peu profond et étroit dans lequel se trouve une eau totalement transparente et à travers laquelle on peut voir les galets qui tapissent le fond. L’eau n’est pas seulement contenue dans le récipient mais l’entoure totalement. C’est un beau puits mais la file d’attente semble difficile à justifier. Elle était sûrement due au chemin accidenté qu’il faut emprunter pour l’atteindre et à l’espace étroit pour l’observer… Comme tout le monde, j’en profite pour le prendre en photo afin de justifier la file d’attente.
En faisant des recherches, j’ai pu comprendre pourquoi ce puits est si populaire. J’ai nommé Kiyomasa, il aurait été creusé pendant l’ère Edo par Kato Kiyomasa, commandant militaire renommé. Son eau conserve une température stable de 15°c tout au long de l’année. Il est aujourd’hui un centre d’énergie spirituelle au sein de Tokyo qui apporterait santé et ondes positives.
En sortant du parc, nous partons visiter le temple et retrouver les garçons. C’est un lieu connu pour les mariages et, ça tombe bien, de jeunes mariés en tenue traditionnelle passent devant nous afin de célébrer les offices, suivis de leur famille et précédés du prêtre.
Quittant le temple, nous prenons la direction du lieu où nous déjeunerons… le fameux Chatty Chatty ! Comment ça, il n’est pas fameux ? Pour Adibou et moi, c’est LE restaurant auquel nous devions absolument nous rendre pendant ce voyage. Nous sommes de grandes amatrices de burgers. Que dis-je amatrices ?Nous sommes des critiques de burger, à la recherche du meilleur burger de Paris puis du monde ! Or Chatty Chatty serait le meilleur burger du Japon selon le youtubeur Tev d’Ici Japon. (Si vous voulez voir la vidéo, c’est par ici). Nous ne pouvons donc pas passer à côté.
Après une marche de 30 minutes nous ayant ouvert l’appétit, nous arrivons sur place. Le restaurant n’est pas dans une rue passante. Il est plutôt caché dans une petite ruelle et pourtant, de nombreuses personnes attendent déjà de pouvoir y entrer. Apercevant une feuille sur laquelle se trouve la liste d’attente, nous nous empressons d’ajouter nos noms avant de récupérer la carte pour choisir notre burger. Il y a plus d’une trentaine de choix disponibles et nous avons rapidement l’eau à la bouche. Il est compliqué de se décider mais l’attente est bienvenue pour nous laisser réfléchir et faire mûrir notre choix. Pendant que nous réfléchissons, un français sort du restaurant et nous fait signe, nous indiquant que ce sont réellement les meilleurs burgers de Tokyo.
Nous nous installons à table et commandons nos burgers. Ça sera l’Avocado Cream Cheese pour ma part. Il arrive rapidement, délivré dans un papier plié afin que le jus ne coule pas sur mes doigts mais reste dans le fond du papier. Il a l’air délicieux ! Et pourtant… Notre plaisir est de courte durée. La crépine qui entoure la viande a une texture filandreuse et nous devons mâcher avec beaucoup de conviction pour manger notre burger. Le pain et les légumes sont délicieux mais la viande nous ayant déçues, nous ne pouvons pas lui donner la place de meilleur burger du Japon ou du monde. Peut-être n’avons-nous pas eu de chance ?
Nous quittons les garçons et partons, à pied, vers Shinjuku afin de visiter la mairie et d’accéder à un nouveau point de vue de Tokyo !
Shinjiku est un arrondissement de Tokyo, composé de quartiers hétéroclites. On y trouve des quartiers d’affaires, de nombreux quartiers nocturnes tels que Kabukichō et Golden Gai mais aussi le gouvernement de la métropole de Tokyo. La gare de Shinjuku est la plus fréquentée au monde avec 1,28 milliards de voyageurs par an.
Le Siège du Gouvernement Métropolitain de Tokyo, aussi nommé Mairie de Tokyo, abrite le gouvernement dirigeant la métropole de Tokyo. Construit de 1988 à 1990, il s’élève à 243m de haut et comporte 48 étages. Plus haute tour du Japon jusqu’en 1993, un observatoire est accessible à 202m de haut. Bonne nouvelle, il est gratuit !
Pour cela, nous devons traverser la ligne de chemin de fer de Shinjuku. Nous éprouvons quelques difficultés à comprendre comment faire #RentrerDansUneGareEtSuivreLesBonsPanneaux, puis braver la foule qui circule sur les voies piétonnes. Mais ces épreuves n’ont pas raison de nous et nous arrivons à notre destination : le Tokyo Metropolitan Building.
Nous nous rendons à nouveau dans un point de vue et empruntons donc l’ascenseur. Ce dernier est beaucoup moins rapide que celui de la Tokyo Skytree. Mais nous arrivons tout de même à notre destination : le 45ème étage. Nous débouchons sur une immense pièce ouverte et circulaire. Par les nombreuses vitres, nous pouvons observer l’Est de Tokyo mais aussi l’Ouest et le Sud. Le Nord est caché par la tour Nord du bâtiment. Aujourd’hui, le brouillard est de mise et nous ne distinguons toujours pas Fuji-San.
La visite est moins complète que celle de la Tokyo Skytree et nous ne nous attardons pas dans la tour.
Nous nous rendons dans un autre quartier de Tokyo, j’ai nommé Shibuya.
Shibuya est le quartier de Tokyo où se situe le passage piéton le plus emprunté au monde. Plusieurs centaines de milliers de personnes le traverse chaque jour.
Temple de la mode adolescente, vous pourrez trouver votre bonheur à la Tour 109.
En sortant de la gare, nous partons à la recherche d’Hachikō. Vous vous demandez qui est cette personne ? Vous avez raison ! C’est le chien le plus célèbre du Japon !
Tous les soirs, Hachikō a pour habitude de se rendre à la gare de Shibuya afin d’attendre le retour de son maître. Cependant, un soir, son maître ne revient pas. Ce dernier est décédé à l’université, des suites d’une hémorragie cérébrale. Son maître ne rentrant pas, Hachikō se rend tous les jours à la gare pour attendre son retour, et ce pendant 10 ans, jusqu’à sa mort.
Les japonais sont touchés par cet exemple de loyauté et une statue est érigée en l’honneur d’Hachikō sur la place de la gare de Shibuya.
À côté de la gare se trouve l’un des endroits les plus célèbres de Tokyo : le passage piéton de Shibuya. Mais si, vous savez, celui où il y a 4 passages piétons qui forment un carré ainsi qu’un passage piéton en diagonale. On dit que plusieurs centaines à plusieurs milliers de personnes traversent ce carrefour lorsque le feu est vert. L’ayant expérimenté nous-mêmes, on peut vous certifier que ce nombre ne semble pas être exagéré.(Nous l’avons même très bien expérimenté, le traversant plus de 7 fois dans la journée !) J’ai été étonnée par la facilité à traverser l’intersection et à avancer malgré l’important flux de personnes.
Il est recommandé de se rendre au Starbucks situé au pied du passage piéton afin de monter à l’étage pour avoir une vue panoramique du carrefour. Cependant, nous abandonnons rapidement l’idée lorsque nous voyons la queue. À la place, nous nous enfonçons dans Shibuya. J’ai l’impression de visiter un petit Times Square : de nombreux magasins possèdent des enseignes colorées et des néons brillants invitant les visiteurs à entrer. Nous déambulons parmi les restaurants, boutiques, bars et salles de karaokés. C’est justement là que nous retrouvons Florian et son collègue. Enfin ! Je vais pouvoir tester les karaokés japonais !
À l’accueil, l’hôte nous demande le temps que nous pensons rester, nous précisant qu’il est obligatoire de consommer au moins une boisson. La salle sera payée à la demi-heure. On récupère ensuite notre reçu avec le numéro de notre salle.
Nous montons nous installer et déchantons rapidement. Le système est entièrement en japonais, langue qu’aucun de nous ne parle couramment. De plus, pour sélectionner la chanson il faut utiliser un écran situé dans un endroit compliqué à atteindre et, lui aussi, en japonais. Nous n’avons pas d’autre choix que d’appeler un employé à l’aide. Il entre dans la salle et, tel un magicien, sort deux tablettes tactiles cachées sous la télé et nous montre même comment sélectionner les chansons en anglais. Notre sauveur ! C’est parti pour 2h de pure folie !
Notre soif de chansons sustentée, nous devons maintenant rassasier notre faim. Nous choisissons un restaurant de sushis. Une fois à table, il n’y a plus aucune interaction avec le serveur. Nous avons une tablette à notre disposition sur laquelle se trouve le menu en anglais, agrémenté de photos. Nous choisissons nos sushis et passons notre commande sur la tablette. Ils arrivent ensuite jusqu’à nous grâce à des rails, s’arrêtant juste devant notre table. On s’est dit que ce serait vraiment marrant d’avoir le même système en France, avant de réaliser que les tablettes ne resteraient sûrement pas longtemps dans le restaurant et que certains plateaux arriveraient sans sushis à leur destination. Peut-être un jour, qui sait ?
De nombreux sushis originaux se trouvent sur la carte et nous en essayons quelques-uns (ou devrais-je dire, Florian en essaye beaucoup…). Nous avons 45 min top chrono pour manger tout ce qui nous intrigue, la politique du restaurant limitant le temps où nous pouvons rester. Nous en profitons au maximum ! L’award du sushi le plus bizarre revient à Florian pour le sushi sur son lit de mini-steak avec fromage fondu.
Une fois bien rassasiés, il est temps de consulter l’addition. J’ai mangé en tout 14 sushis. Une quinzaine d’euros me dites-vous ? Perdu ! Seulement 5€ !
Nous rentrons finalement à l’hôtel pour continuer notre périple demain ou travailler pour les moins chanceux d’entre nous.